Quel est l'impact du secteur alimentaire sur mon empreinte carbone ? 

Comment Quitoque peut m'aider à agir pour la planète ?

Vous aussi, vous vous posez ces questions ?

Ca tombe bien : on a des réponses, et en 3 minutes chrono vous aurez tout compris ! ⏱️


Prêts ? C'est parti !

Le changement climatique et les gaz à effet de serre

Depuis la révolution industrielle, le niveau de vie moyen s’est considérablement amélioré sur Terre, mais cela s’est fait au prix d’émissions de plus en plus importantes de gaz à effet de serre (GES).


L’effet de serre est un phénomène naturel qui nous permet de ne pas geler (sans gaz à effet de serre, il ferait -18°C en moyenne sur Terre ! ). 


Un peu comme une grosse doudoune. Mais si on envoie trop de GES dans l’atmosphère, la doudoune s’épaissit et le climat se réchauffe.

Deux chiffres à retenir ?

🔥

😯

2 tonnes de CO2 par habitant et par an d'ici à 2050 : c'est l'engagement pris par la France lors des accords de Paris, et qui est en accord avec un objectif 2°C. 


Aujourd'hui, nous en sommes à environ 11 tonnes par français.

C’est le réchauffement (d’ici 2100, par rapport à 1850) qu’il ne faudrait pas dépasser pour éviter un emballement climatique. 


Dépêchons-nous, on en est déjà à 1,1°C !

L'alimentation : 1/4 de mon empreinte carbone

Donc, pour récapituler : on envoie trop de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère, et cela dérègle le climat.



Quel rapport avec l’alimentation ? Eh bien, pour produire de la nourriture il faut passer par plusieurs étapes (cultiver un champ, élever des bêtes, transformer et transporter de la nourriture, l’emballer, la distribuer), et à chacune de ces étapes, il y a des émissions de gaz à effet de serre.



Au final, le secteur alimentaire représente un quart de l’empreinte carbone moyenne des français.

Vous souhaitez réduire l’empreinte carbone de votre alimentation ? On vous dit tout !

Il faut d’abord bien comprendre où ont lieu les émissions de GES liées à l’alimentation

Comme représenté sur le schéma, l’immense majorité (90%) des émissions de GES du secteur alimentaire ont lieu aux étapes de production et de transformation de la nourriture.


Le transport (à l’exception de l’avion) et les emballages sont responsables de beaucoup moins d’émissions de carbone (le surplus d’emballages crée cependant d’autres problèmes écologiques majeurs : pollution des eaux, etc).

Si vous souhaitez réduire l’empreinte carbone liée à votre alimentation, le plus important est de sélectionner les produits qui émettent le moins de CO2 lors de leur production.

Produire sous serres chauffées nécessite un apport d’énergie conséquent. De plus, les légumes produits hors saison parcourent plus de kilomètres jusqu’à notre assiette.


Pour ces raisons, (et bien sûr pour des raisons de goût ! ), 100% des fruits et légumes proposés dans vos recettes Quitoque respectent les saisons.

La viande de bœuf est l’aliment le plus générateur de gaz à effet de serre. Pourquoi ? Les vaches sont des ruminants : leur digestion génère une grande quantité de méthane, qui est un gaz à effet de serre 24 fois plus puissant que le CO2 !

¼ de la nourriture produite est jetée tout au long de la chaîne. Près de la moitié de ce gaspillage a lieu chez les consommateurs et dans les supermarchés.


Le modèle du panier à cuisiner de Quitoque est pensé pour réduire le gaspillage alimentaire, grâce à la livraison des justes quantités et aux commandes passées en avance.

Je veux améliorer mon empreinte carbone alimentaire : je fais quoi ?

L'agence française de la transition écologique (ADEME) a évalué les émissions de gaz à effet de serre associées à la production d'un kilo de différents types d'ingrédients. Comme différents gaz à effet de serre sont mis en jeu, on les rassemble sous le terme de "CO2 équivalent" ou "CO2éq".

Il est bien sûr difficile de comprendre ce que représente un kilogramme de CO2, mais l’important est plutôt de situer les ingrédients les uns par rapport aux autres.


Bien sûr, ces chiffres sont des estimations et des moyennes : de la viande de bœuf importée d’Argentine de la viande française n’ont pas la même empreinte carbone, mais là encore ce sont les ordres de grandeur qui sont importants à retenir.

Grâce à ces données, il est possible de calculer des "scores CO2" de différents repas, et en particulier des scores de vos différentes recettes Quitoque. Voilà ce que ça donne pour 5 recettes que nous avons créées en 2020.

Vous pouvez retenir qu’un plat moyen Quitoque émet moins de CO2 qu’un plat français moyen, et qu’il s’agit d’une moyenne entre des recettes qui peuvent avoir jusqu’à un facteur 20 de différence ! En règle générale, les recettes végétariennes et végétales sont beaucoup moins émettrices.


Ca tombe bien, Quitoque vous en propose environ 9 délicieuses chaque semaine !

En conclusion

Si vous souhaitez réduire votre empreinte carbone alimentaire, voici 4 règles faciles à appliquer et qui auront un impact majeur sur votre empreinte carbone :


1. Réduire la viande de bœuf et de veau, soit en lui substituant d'autres viandes (porc, volaille), soit en cuisinant des recettes végétariennes. Quitoque vous en propose jusqu'à 10 chaque semaine. De manière plus générale, diminuer votre consommation de viande et poisson baissera fortement votre empreinte carbone alimentaire.


2. Manger de saison, c'est de bon goût : chaque fruit ou légume produit hors saison a des coûts écologiques majeurs. 100% des légumes dans vos recettes Quitoque respectent les saisons


3. Réduire au maximum le gaspillage alimentaire : la nourriture jetée a émis des gaz à effet de serre pour rien ! Le modèle de panier à cuisiner de Quitoque est pensé pour réduire au maximum le gaspillage alimentaire.


4. Eviter au maximum les produits importés par avion


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